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avril 2013

Libre-arbitre - "Je préfère cramer mes ailes par les deux bouts pour ma liberté je crèverai debout"

Out of the night that covers me, Black as the pit from pole to pole, I thank whatever gods may be For my unconquerable soul. In the fell clutch of circumstance I have not winced nor cried aloud. Under the bludgeonings of chance My head is bloody, but unbowed. Beyond this place of wrath and tears Looms but the Horror of the shade, And yet the menace of the years Finds and shall find me unafraid. It matters not how strait the gate, How charged with punishments the scroll, I am the master of my fate: I am the captain of my soul. William Ernest Henley (...)

... simple réflexion - "Je préfère cramer mes ailes par les deux bouts pour ma liberté je crèverai debout"

Ecrire ceci ici... ça fait bizarre mais j'ai clos mon ancien journal et je respecte cela. Est ce que les attentat de Boston vont mettre le feu aux poudres et déclencher une troisième guerre mondiale ? Comme par hasard le jour de l'annif du chef de la Corée du Nord ... Soit ça vient d'eux ou de sympathisants Soit d'autres veulent faire penser ça Soit les US ont encore été trop belliqueux Syrie, Mali p-e...j'avoue avoir perdu le fil de tous les conflits du moyen-orient. Bref je suis pas en mesure de le savoir Mais je me demandais Donc je l'ai écrit... (...)

Néant - « Dis-moi un peu d'où vient cette manie de n'être jamais ce qu'on est ? »

Dès que les mots quittent mon esprit, ils se figent et se censurent pour que jamais l'on ne cerne les confins de mon être, du moins en théorie. Car la censure à ses limites. Mais ce n'est que dans certaines situations précises, dans lesquelles on ne se trouve pas actuellement. Le fait d'écrire m'empêche de les penser. Je pourrais répéter éternellement la même histoire, mais je finirai alors par croire que tout au long de ma jeunesse je me suis forgé une légende. Et j'ai fini par y croire. Je ne sais pourquoi j'ai commencé ce journal, une conscience d'un besoin d'écrire ça (...)

Courtes pensées - « Dis-moi un peu d'où vient cette manie de n'être jamais ce qu'on est ? »

J'ai eu peur et je me suis senti coupable. Furtif je l'ai vu disparaître dans le couloir. Et je suis resté hagard. J'avais encore sombré, irrémédiablement. Lutté n'avait servi à rien. J'ignorais si je m'étais de suite réveillé ou s'il m'avait observé plus longtemps. Je n'ai perçu que de la sympathie dans son bref regard lorsque je me suis réveillé en sursaut et que je l'ai fixé sans comprendre. Et quelque part en moi je savais Qu'il n'est pas normal de s'endormir ainsi à répétitions et sans raison J'espère que j'ai rien chopé (...)